Vergiss mein nicht
David Sieveking, Germany, 2013o
David Sieveking left home years ago to make films. Now he has returned – and for a reason: To help his mother, Gretel, who has Alzheimer’s, and relieve her long-time carer and his father Malte for a few weeks.
Le portrait est émouvant, la situation poignante. Soudain Gretel dépasse son statut de cas clinique pour devenir la métaphore incarnée d'un passé évanoui. Ne m'oublie pas réussit à combiner âpre témoignage documentaire et questionnement historique.
Jean-François RaugerCe film délicat trace aussi le parcours d'une génération de bourgeois allemands, lettrés, nés avec la guerre, et tentés par le militantisme d'extrême gauche, l'amour libre et la contestation.
Cécile Mury